France 2 vous propose une soirée avec une thématique commune le lundi 15 novembre 2011 à partir de 21h05.
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant du 20 novembre, et dans le cadre de son engagement au long cours sur cette question de société essentielle, France Télévisions mobilise de nouveau fortement l’ensemble de ses antennes, linéaires et numériques.
Dans la ligne de l’impact de ses précédentes mobilisations, qui ont fait bouger les lignes, sensibilisé le public, libéré les paroles et mis en lumière des sujets et des souffrances encore souvent tabous, France Télévisions propose cette année plusieurs programmes événements, au premier rang desquels deux grandes soirées inédites s’articulant respectivement autour de la fiction L’enfant de personne, film choc sur les enfants placés, récemment couronné par trois prix prestigieux, et du nouveau magazine Les temps changent, confié à Faustine Bollaert et consacré à « L’enfance abîmée ».
Plusieurs temps forts se succéderont durant cette mobilisation citoyenne. Nos documentaires, magazines, éditions, plateformes, réseaux sociaux participeront, avec des approches éditoriales multiples et innovantes, à cette programmation événementielle, entre le 15 et 20 novembre. La télévision de service public est, plus que jamais, au rendez-vous d’une cause qui touche l’âme de notre société.
21h05 - L’enfant de personne
Lyes est brutalement arraché à Émilie, la mère d’accueil qui l’a recueilli bébé, et qui désirerait l’adopter. L’enfant se retrouve ainsi confronté à la violence des foyers de l’ASE, qui refuse de couper le lien avec la mère biologique, pourtant incapable de s’occuper de lui. Agathe, la sœur d’Émilie, n’a jamais abandonné l’enfant...
22h35 - Le débat « Enfants placés, enfants abandonnés ? »
Animé par Julian Bugier.
23h35 - Infrarouge : Mes premiers pas d’éducateur
Hannah, Laure, Halima et Adrien veulent devenir éducateur. Dans une société de plus en plus fracturée, Ils veulent venir en aide aux exclus, à ceux qui souffrent ou dont personne ne veut s’occuper. On ne se lance pas dans ce métier peu reconnu et peu rémunéré par hasard et si leur parcours personnel a construit leur vocation, ils s‘apprêtent à se lancer dans le grand bain. Étudiants à l’Institut Régional du Travail Social de Paris, ils alternent stage et cours. Cette formation les pousse à établir sans cesse des ponts entre la théorie et la pratique, à confronter leurs idéaux, leurs rêves à la réalité du terrain. Car bien accompagner « celui qui en a besoin » est un processus long et à l’issue incertaine et qui passe nécessairement par la découverte de soi.