La collection « Sur le front » incarnée par Hugo Clément arrive sur France 5, le dimanche 24 janvier 2021. Elle devient mensuelle, en prime time.
France Télévisions affirme ainsi sa volonté d’offrir encore plus de visibilité à l’environnement au plus près de celles et ceux qui agissent et proposent des solutions pour préserver notre planète.
Hugo Clément répond ainsi à l’appel de ceux qui se battent au quotidien pour défendre l’avenir d’un écosystème menacé.
« Sur le front » vient compléter l’offre exceptionnelle de France 5 sur l’écologie.
C’est l’occasion de dévoiler des images exceptionnelles de la nature mais surtout de montrer que l’engagement et la mobilisation des citoyens font fléchir les gouvernements, les pollueurs ou les braconniers. Il s’agit de dénoncer des scandales environnementaux, d’alerter sur des situations de grand danger, de révéler des projets destructeurs méconnus du grand public. Il s’agit également de garder espoir en mettant en avant les actions qui portent leurs fruits et les avancées scientifiques prometteuses..
« Sur le Front » est décliné à la fois en série documentaire présentée en première partie de soirée sur France 5 et par des reportages réalisés spécialement pour le digital, diffusés chaque mercredi sur la page Facebook et Instagram de France TV Slash, ainsi que sur les réseaux sociaux de France TV.
20h50 – Sur le front de l’Amazonie
Avec « Sur le Front » Hugo Clément nous emmène ce soir au cœur de l'Amazonie et nous fait découvrir le combat quotidien des gardiens de la forêt, au péril de leur vie. Il nous emmène à la rencontre du grand chef Raoni, tout juste guéri de la Covid 19 qui nous adresse un appel au secours poignant. Hugo prend part à une opération exceptionnelle du GIGN en Guyane Française pour démanteler les campements de chercheurs d’or clandestins qui ravagent la forêt. Il a pu filmer toute l’intervention des militaires français sur l'un des sites d’orpaillage.
« Sur le Front » part aussi à la rencontre des combattants qui s’attaquent à toutes les causes de la déforestation : les coupeurs de bois, les exploitations agricoles et le changement climatique.
Ces combats nous concernent. La France importe du soja brésilien pour nourrir notre bétail alors que la culture du soja est directement responsable de la déforestation. Les Amérindiens nous exhortent à ne plus acheter du soja et de la viande de bœuf en provenance du Brésil car ces cultures et ces élevages intensifs entrainent la destruction de la forêt amazonienne.
Comme dans les précédents numéros « Sur le Front de l'Amazonie » répond à l’appel de celles et ceux qui se battent sur le terrain : Emilie, ethnologue française que le grand chef Raoni considère comme sa propre fille, vient épauler la tribu Kayabo. Le Dr Rémi Pignoux soigne les Amérindiens victimes de la pollution au mercure en Guyane Française. Karen, jeune vétérinaire, vient bénévolement sauver les animaux prisonniers des flammes au Pantanal. Delphine, une militante Française se bat avec les gardiens de la forêt et prépare un recours en justice pour contraindre le Brésil à agir. Toutes et tous malgré les obstacles rencontrés nous délivrent un message d’espoir et nous incitent à passer à l'action.
21h40 – Sur le front des coraux
En enquêtant pour cet épisode Hugo Clément et son équipe sont arrêtés par la police australienne et placés en garde à vue. Mener jusqu’au bout les investigations ne va pas être aisé, les téléspectateurs se retrouvent embarqués dans un périple plein de rebondissements.
Les tensions sont vives car un projet industriel insensé divise le pays. La grande barrière de corail, joyaux des océans, déjà menacée par le réchauffement climatique doit faire face à la construction de l’une des plus grosses mines de charbon de l’histoire. Il est même envisagé à proximité de la grande barrière d’agrandir un port industriel, entièrement réservé à l’exportation du charbon par bateau. Rémi, jeune Marseillais, a rejoint des militants australiens qui s’opposent à l’industrie minière par tous les moyens.
Au-delà de l’urgence à préserver cet écosystème si précieux, cette mobilisation nous concerne car une entreprise française participe à la construction de la mine !