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Nos vies d’ici, nouveau rendez-vous sur la diversité, chaque samedi à 16h15 sur France 3, à partir du 27/02/2021

Nos vies d’ici, nouveau rendez-vous sur la diversité, chaque samedi à 16h15 sur France 3, à partir du 27/02/2021

La vie quotidienne des Français change. Dans toutes les régions de France, de nouvelles façons de vivre, de produire, de travailler, de se nourrir, d’être solidaires sont en train de voir le jour, portées par des Français anonymes que nous avons décidé de mettre à l’honneur.

Toutes les semaines, le samedi à 16h15, dès le 27 février 2020, France 3 racontera la vie des Français à travers le regard de  ces héros du quotidien qui œuvrent dans l’ombre pour construire notre présent et préparer notre avenir : des agriculteurs aux soignants, en passant par les éducateurs, les bénévoles, les professionnels de santé, les commerçants, les artisans… et tous ceux qui, avec eux, réinventent nos vies et notre quotidien. Un nouveau rendez-vous positif, inspirant, engagé, bienveillant, au plus près des Français et de nos territoires.

Ces documentaires du réel et feuilletonnants sont  confiés, tout au long de la saison, à une pluralité de producteurs, auteurs et réalisateurs qui vont partir à la rencontre des Français. Les différentes collections inédites proposées sont développées par salves de 6 à 8 semaines.

 

Première collection : Ma vie rurale (8 x 52 min)

Ils sont les héros de nos campagnes. Dans toutes les régions de notre pays,  à  travers les histoires croisées de ces hommes et de ces femmes engagés, nous  découvrons une France généreuse, courageuse, passionnée, innovante. Des vies enracinées dans l’extraordinaire beauté de nos terroirs et dédiées à la culture de produits d’exception. Au fil des saisons, nous traversons avec eux des moments de joie, mais aussi des épreuves : celles que leur réserve une nature parfois imprévisible, ou celles que font parfois peser sur leurs professions fragiles les lois du marché et les difficultés quotidiennes.  Cette série à la réalisation soignée permet de redécouvrir la beauté spectaculaire de la France rurale et d’approcher au plus près la réalité de ces hommes et de ces femmes qui se battent pour la faire vivre ou revivre. Une immersion inédite dans la vraie vie de nos campagnes.

 

Épisode 1

Ce premier épisode de « Ma vie rurale » nous amène au cœur de l’Ardèche faire la rencontre de Pierre, un éleveur bovin, boulonné à ses terres.

Des terres qu’il aime et qu’il respecte profondément, tout comme son troupeau qu’il bichonne chaque jour. Très attaché à la nature qui l’entoure et le fait vivre, Pierre travaille en bio depuis toujours. À 59 ans, la fatigue commence à se faire sentir, et l’agriculteur souhaite partir à retraite, mais aucun de ses enfants ne souhaite reprendre son exploitation…

Pierre va donc devoir faire appel à une association pour l’aider, tant sur le plan administratif que psychologique, à trouver son parfait successeur…

Dans le Lot-et-Garonne, nous faisons la connaissance de Yolande et Pascal qui ont fait le pari de vivre en autosuffisance, loin du confort moderne. Yolande a posé ses valises au cœur du Sud-Ouest il y a une quinzaine d’années et s’est lancée dans la permaculture. Un mode de culture ancestral importé de sa Guyane natale.

Le couple se contente de peu pour vivre son rêve d’autonomie, mais ils ont tout de même quelques factures et charges à payer. Yolande vend donc habituellement sa production de légumes et de plantes comestibles à des restaurateurs. Seulement, cette année s’annonce évidement plus compliquée que les autres. Le couple va devoir trouver d’autres moyens pour écouler ses récoltes…

Enfin, dans le golfe du Morbihan, nous découvrons Yvonnick.  Un ostréiculteur traditionnel qui élève ses huîtres, creuses et plates, à l'ancienne, comme le faisait son père, en eau profonde et à même le sable. Yvonnick s’est résolument engagé pour cette technique d’ostréiculture ancestrale et naturelle, mais elle est bien plus contraignante que celle du parc à huitres classique. Tempête, prédateurs et mesures sanitaires liées à la COVID rende sa saison particulièrement difficile. À l’approche des fêtes de fin d’année, la production sera-t-elle suffisante ?

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