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Coronavirus, viande sans viande, les oubliés de Kaboul : ce soir à 21h05 sur France 2 dans Envoyé spécial

Coronavirus, viande sans viande, les oubliés de Kaboul : ce soir à 21h05 sur France 2 dans Envoyé spécial

Au sommaire du magazine d’information « Envoyé spécial », présenté par Elise Lucet, ce soir à 21h05 sur France 2 :

 

Coronavirus : une ville sous pression

La France est bouleversée par le coronavirus et les mesures inédites prises par Emmanuel Macron. Depuis deux semaines, Mulhouse, avec ses 110 000 habitants, est l’une des premières villes impactées par l’épidémie. Envoyé Spécial a partagé le quotidien de l’hôpital saturé, de familles confinées, de chefs d’entreprise au bord de la faillite. Entre mobilisation et inquiétude, c’est toute une vie qui se réorganise.

 

La viande... sans viande !

Pourra-t-on bientôt manger de la viande… sans viande ? D’Israël aux Etats-Unis, Envoyé Spécial est allé goûter ce que des chercheurs et des industriels appellent « la viande alternative » : bacon, nuggets, burgers à base de protéines végétales. Et même, faux-filet fabriqué à partir de vraies cellules de bœuf… cultivées en laboratoire !

Ces nouveaux aliments ont l’odeur, l’apparence et le goût de la viande. Avec une promesse : une viande plus saine, sans antibiotiques, sans hormones de croissance, sans émission de gaz à effet de serre et sans souffrance animale.

Rêve pour écologistes ? Révolution alimentaire ? C’est surtout un marché gigantesque qui aiguise les appétits de l’industrie et de milliardaires - Bill Gates ou Léonardo Di Caprio. D’ici 2030, 10% de la viande mangée dans le monde ne viendra plus d’un animal, selon les industriels. Mais notre planète et l’environnement s’en porteront-ils vraiment mieux ?

 

Les oubliés de Kaboul

Ils s’appellent Ashraf, Adib ou Basir. Ils sont Afghans et, pendant des mois, ils ont travaillé auprès des soldats français, parfois sur le front, au risque de leur vie. La France a recruté plus de 800 travailleurs afghans pendant son déploiement en Afghanistan : des interprètes, des magasiniers, des ouvriers…

Tous avaient pour rôle d’aider les militaires sur le terrain. Ils les accompagnaient dans leurs missions les plus dangereuses. Mais pour cela, ces Afghans sont aujourd’hui considérés comme des traîtres dans leur propre pays, menacés de mort par les talibans.

Les troupes françaises, elles, se sont retirées. Tous se battent désormais pour obtenir un visa. Mais les procédures sont longues, complexes, souvent vouées à l’échec : ils accusent la France de les avoir abandonnés. Pourquoi notre pays ne rapatrie-t-il pas tous les Afghans qui ont travaillé pour lui ?

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