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Cantines, Brigade de protection de la famille : ce soir à 21h00 sur France 2 dans Envoyé spécial

Cantines, Brigade de protection de la famille : ce soir à 21h00 sur France 2 dans Envoyé spécial

Au sommaire du magazine d’information « Envoyé spécial », présenté par Elise Lucet, ce soir à 21h00 sur France 2 :

 

Cauchemar à la cantine !

A Paris, Mina, 9 ans, a décidé un jour d’envoyer une lettre au maire de son arrondissement pour qu’il fasse quelque chose : à la cantine de son école, écrit-elle, « la soupe n’est pas de la soupe » et « la viande et le poisson ne sont jamais appétissants ».

A Roissy-en-Brie, Yogan, 10 ans, lui, ne touchait carrément plus à son assiette le midi, sa mère s’en est rendu compte quand il a commencé à perdre du poids.

Que sert-on vraiment dans les cantines de nos enfants pour qu’ils les détestent autant ? Nous nous sommes invités à leur table pour examiner avec eux le contenu de leur plateau.

Des plats industriels bourrés de sucres et d’additifs, des déjeuners produits à la chaîne jusqu’à 5 jours à l’avance dans de gigantesques cuisines centrales : voilà ce qui est au menu de la plupart des cantines de France. Nous avons enquêté sur les coulisses pas très ragoûtantes de la restauration scolaire.

 

Le bureau des plaintes

Au commissariat du 15ème arrondissement, l’un des plus grands de Paris, une unité spécialisée recueille chaque jour l’intimité difficile à dévoiler. La Brigade de Protection de la Famille reçoit les femmes victimes de violences conjugales, de harcèlement, de viol venues porter plainte. Les équipes d’Envoyé spécial ont obtenu l’autorisation exceptionnelle de la filmer au quotidien pendant 3 mois.

Auditions des victimes et de leurs agresseurs, confrontations, interpellations : nous avons suivi Frédéric, François, Jean-Christophe et Maxime, 4 policiers, spécialement formés à l’accueil et à l’écoute de ces femmes.  Depuis l’affaire Weinstein, « #balancetonporc », leur parole s’est partiellement libérée :  les plaintes ont augmenté de 20% en un an.

 

L'héritière et les enfants de Bamako

Tout commence par un coup de téléphone. A la mort de son mari en 2015, Madame Festoc, paisible retraitée de 84 ans vivant en Normandie, décide de léguer 2 millions d’euros à la Chaîne de l’espoir.

Cette association soigne dans le monde entier les enfants atteints de malformation cardiaque. Elle appelle donc le fondateur qui n’en croit pas ses oreilles ! Enfin, avec cette somme inespérée, l’association va pouvoir ouvrir deux blocs opératoires en chirurgie cardiaque à Bamako, au Mali. Et sauver des milliers d’enfants jusqu’à présent condamnés.

Commence alors une incroyable aventure et une course de vitesse : il faut acheminer le matériel, établir la liste des enfants à opérer, recruter les chirurgiens. Et le jour de l’ouverture du premier bloc, tout ne se passe pas comme prévu…

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