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48 heures, nouvelle série documentaire, dès le lundi 20 novembre 2017 à 20h50 sur France 5

48 heures, nouvelle série documentaire, dès le lundi 20 novembre 2017 à 20h50 sur France 5

Le mercredi 20 novembre 2017 à 20h50, France 5 lancera sa nouvelle série documentaire « 48 heures ».

D’après une idée originale de la journaliste Frédérique Lantieri, cette série documentaire en six épisodes est une immersion au cœur de la garde à vue, ce huis clos où l’on ne pénètre jamais et où pourtant tout se joue.

En France, la durée maximale d’une garde à vue est de quarante-huit heures. Deux jours durant lesquels les policiers en charge de l’enquête doivent obtenir des aveux. Chaque épisode de cette série plonge le téléspectateur dans une affaire criminelle résolue à l’aide de procès-verbaux, d’interviews des protagonistes et de reconstitutions jouées par des comédiens. Ce huis clos est entrecoupé d’interventions de ceux qui ont participé aux événements et qui sont à même de décrypter ces quarante-huit heures.

 

48 Heures : La Garde à vue de Jean-Yves Morel

Le 2 juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Élisabeth. Sa voiture est retrouvée sur le parking d’une cité de Lillebonne. Dans son sac à main : deux petits bouts de papier. L’un avec le numéro de téléphone d’un certain Jean-Yves Morel, l’autre sur lequel est griffonné : « Fred, le 24, à 10 heures ». Après trois mois d’enquête, il ne reste qu’un nom, celui de Jean-Yves Morel, un homme sans histoire de 33 ans, marié, père de famille. Le 9 octobre 1997, celui-ci est convoqué à la gendarmerie à 9 heures du matin. Sa garde à vue commence…

 

48 Heures : La Garde à vue de Jean-Stéphane Saizelet et de Nadège Wiktorska

Juillet 1995. Un appel anonyme informe la police que le décès de Jean Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait en fait un meurtre. Il aurait été tué par sa femme et son amant. Les policiers récupèrent le corps in extremis, juste avant son incinération. L’autopsie confirme l’homicide. Les policiers interpellent le couple dénoncé par la mystérieuse informatrice, ainsi que la femme chez qui ils ont été découverts. Lors de l’arrestation, l’homme prétend s’appeler Jean-Bernard Wiktorska, donnant ainsi l’identité du mort. Ils sont transférés à la brigade criminelle de Versailles le 20 juillet 1995, à 13 h 15. Leur garde à vue commence...

 

Source : France 5

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